Quand on s’appelle Anquetil, reste plus qu’à faire du vélo interroge les nombreux sens du
tissage, tant techniques que symboliques. À partir des récits de vies de deux homonymes et de leur savoir-faire respectif (l’un, célèbre coureur cycliste et l’autre, tisserand méconnu), la sculpture entremêle deux disciplines qui semblent pourtant n’avoir aucun lien.
L’hybridation finale révèle ainsi les accointances technologiques et sémantiques du cyclisme et des artisanats textiles, pour en brouiller définitivement les frontières.

Cette sculpture fut réalisée dans le cadre d’une résidence au Bel Ordinaire (Pau) :
https://belordinaire.agglo-pau.fr/residences/nathalie-bekhouche-01-2022

Vues de la restitution de fin de résidence, Galerie éphémère, Bel Ordinaire, 2022, Pau et vue de l’exposition des objets étranges, Atelier Alain Le Bras, 2023, Nantes